Le Café de la Jatte devient « Café La Jatte » avec Puck l’Agence

Café la Jatte avec Puck L'Agence

Café la Jatte avec Puck L’Agence

L’institution de l’ouest parisien fait peau neuve.
Reprise en main par Mathieu Bucher, l’adresse retrouve de la splendeur. Puck a accompagné l’entrepreneur dans la refonte de l’image du lieu. L’idée : capitaliser sur un positionnement qui ne demandait qu’à être réveillé : l’Italie. L’Italie oui , mais la vraie, l’Italie multiple, l’Italie de produits savoureux et simples, l’Italie du goût et du spectacle. Le Café la Jatte, c’est un cocktail de saveurs et d’émotions qui redonne du sex appeal au lieu et c’est peut être pour cela que l’on s’y presse déjà.

Puck est une agence de communication à 360° spécialisée dans le positionnement des  marques, avec une longue expérience de la communication des enseignes en réseau et notamment de la restauration (Hippopotamus, Brasseries Flo, Léon de Bruxelles, Vin et Marée, etc.) accompagne le restaurateur dans son développement (River Café, Le Murat, Le Gallopin et maintenant le Café la Jatte).

PUCK DEVELOPPE LES OUTILS PRINT DE AFTRAL, LEADER DE LA FORMATION TRANSPORT LOGISTIQUE EN FRANCE

AFT2L’AFTRAL est l’organisme leader de formation aux métiers du transport et de la logistique.

Print Puck pour AFTRAL

Son catalogue de formation couvre tout le spectre du domaine transport logistique, c’est-à-dire des dizaines de formations délivrées dans les centres partout en France ou même en ligne.

Cette offre impose de développer des outils commerciaux (catalogue général, catalogues et fiches techniques, plaquettes métiers….) très pédagogiques qui facilitent le choix aux candidats comme aux services RH qui utilisent les services de l’AFTRAL.

Codes couleurs par métier, planning permettant de se repérer à la fois dans le calendrier et les lieux de formation, mise en page claire alternant descriptifs et témoignages, tout un savoir-faire que les directeurs artistiques de l’Agence ont développé au service d’autres organismes de formations depuis 10 ans.

Puck est une agence conseil en stratégie de positionnement – branding – communication à 360°.

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5 CLES POUR ACCOMPAGNER LE CHANGEMENT

5 clés pour accompagner le changement par Puck L'AgenceUn rebranding, un changement d’actionnaire, un rachat, impactent régulièrement la vie et l’image des entreprises. Pour ses affaires, pour ses employés, l’entreprise a besoin de conserver une image claire. Ces changements impliquent de faire une transition rapide et si possible de transformer cette contrainte en opportunité.

Dans un tel cas, les équipes chargées du changement se retrouvent souvent face à une certaine inertie, voire une résistance active ou passive. En effet, un manque de compréhension des enjeux ou des opportunités, une peur face à l’inconnu ou face à la perte de repères, provoquent immanquablement des résistances.

Au lieu de profiter de cette opportunité de visibilité et de présence à l’esprit, l’entreprise dépense alors beaucoup d’énergie à faire avancer un changement qui met parfois des mois à s’appliquer, et ne provoque que distorsion d’image à l’interne comme à l’externe.

Dans une telle situation, il est nécessaire de bien préparer le discours de transition. Choisir le positionnement de la nouvelle entité sur son marché afin de montrer à chacun l’opportunité que représente ce changement.

Ensuite, il faut accompagner les équipes dans ce mouvement car elles seront les ambassadrices de cette nouveauté.

Pour mieux maitriser ce changement il y a 5 clés fondamentales.

1 – Bien préparer

A partir des constats et des objectifs du changement, il faut préparer le plan d’action, en identifiant les moyens, les outils, les relais humains et un timing raisonnable.

2 – Impliquer

Il faut s’appuyer sur des relais dans l’entreprise, de type managérial pour faire passer l’information, de type opérationnel pour monitorer le changement et son application.

3 – Faire adhérer

Dans tout changement, il y a des résistances réelles et psychologiques.
Manque d’intérêt pour une évolution, manque d’engouement pour l’évolution d’une marque, peur de l’inconnu. L’absence de communication et d’information génère du doute et peu donner l’impression que chaque salarié, dans sa personnalité ou son rôle, est dilué dans une nouvelle organisation.
Faire adhérer, c’est repérer les freins et surtout motiver les équipes dans le cadre d’une ambition commune avec des messages simples, clairs et transparents. C’est pourquoi il faut bien construire cette argumentation du changement.

4 – Rendre opérationnel

Mettre en œuvre la politique de changement en s’appuyant sur des relais.
Cela nécessite au-delà des outils de changement de marque de créer des outils et des messages pour les relais (présentations, formation, to do list,…).
Les relais auront à charge de diffuser et d’impliquer.
Les outils du changement de marque se mettront en œuvre dans un cadencement choisi. Il est très important de laisser une période suffisante mais pas trop longue pour créer un effet d’impact et prendre en compte qu’un changement du jour au lendemain est impossible.

5 – Vérifier le changement effectif

Un changement ne se constate réellement que sur des preuves. Il faut valider par exemple sous forme d’un reportage surtout si l’entreprise possède différents sites et penser comme toujours le diable est dans les détails, donc soyez précis !

LE BRIEF SIMPLIFIE

Le briefing par Puck L'Agence

Le briefing par Puck L’Agence

Que ce soit pour une action de communication ou plus généralement marketing, il est indispensable de bien briefer ses équipes en interne ou en externe. Cet exercice demande de la pratique et du temps pour faire le point sur ce qui est vraiment important.

Parfois le temps manque et la récurrence des actions des communications impliquent une certaine redondance dans la description de la marque, de son positionnement ou de sa cible. Une enseigne peut avoir, par exemple, à communiquer régulièrement pour annoncer des actions promotionnelles ou de nouveaux services. Dans ce cas, le briefing à l’agence peut se simplifier et vous n’avez qu’à transmettre la substantifique moelle de votre stratégie aux créatifs.

Néanmoins cela reste un exercice exigeant car il nécessite de faire la synthèse de ce qui est vraiment important et de s’engager sur ce que l’on veut réellement communiquer. C’est aussi un exercice salvateur qui permet de ne pas se perdre dans les méandres d’un briefing complet.

Je vous engage donc à le faire aussi souvent que possible.

Dans cet exercice de simplification, le briefing se décompose en 3 parties essentielles et une facultative.

L’objectif de communication
Veut-on faire aimer, faire découvrir ou faire agir. A ce stade il ne faut pas se tromper. Beaucoup d’annonceurs pensent que l’objectif est d’abord de faire agir, donc de consommer. Mais le processus d’achat passe souvent par de nombreuses étapes, il s’agit donc de savoir à quelle étape souhaite-on toucher le prospect et comment cette étape contribuera à l’acte d’achat.

La promesse
On peut choisir de s’appuyer sur une promesse (une offre, un avantage, une nouveauté, une promotion,….) ou sur le bénéfice, c’est-à-dire l’avantage qu’en tirera le client. Dans les deux cas il y aura une cause et un effet. Je vous incite à ne pas utiliser les deux en même temps, néanmoins posez vous toujours la question du rapport promesse/bénéfice. Est-il suffisant pour que votre client passe à l’action ?

Les preuves
Ne les multipliez pas, elles doivent servir à crédibiliser la promesse ou le bénéfice. Éliminez tout ce qui n’est pas directement relié à votre promesse ou à son bénéfice. Si vous vous appuyez sur la notion d’USP, rappelez vous que USP veut dire unique selling proposition, c’est un acte fort de simplification. Donc « des USPs » ça n’existe pas. il faut savoir renoncer.

Le ton (facultatif)
Vous pouvez ajouter cette partie si elle soutien de votre discours, ou votre action. Sinon demandez aux créatifs de le décrire lors d’un premier retour, afin d’atteindre au mieux l’objectif que vous vous êtes fixé.

Il ne reste plus qu’à le soumettre à votre équipe créative. Rappelez-vous toujours qu’il faut juger une création à l’aulne de votre brief et de l’objectif que vous vous êtes assigné car le récepteur de votre message est sur-sollicité. Faites simple, ne vendez qu’une idée à la fois !

Pour ceux qui veulent approfondir leurs briefs, n’hésitez pas à consulter « Comment écrire un bon brief à son agence » et à télécharger notre modèle

J’AI LU s’affiche avec Puck L’Agence et lance un inedit de David Foenkinos

Les Editions J’AI LU (Groupe Flammarion) lancent leurs titres 2014 avec l’ambition de séduire de nouveaux publics. Dans une époque où il faut défendre la lecture comme outil de culture, l’Agence a choisi de coder fortement ces lancements en traduisant les mots par l’image avec une réalisation en 3D laissant entrevoir ce que nous promet le livre, tout comme l’accroche qui doit aussi inviter le spectateur à découvrir ce que cache le titre.  A cette occasion J’AI LU se dote d’une signature : « Les livres qu’on ne referme jamais ».

L’année commence fort avec une première campagne pour un inédit de David Foenkinos.

La campagne est visible sur les réseaux Abribus dès janvier. D’autres lancements sont déjà en gestation.

Pub pour J'AI LU par puck L'agence

Pub Puck L’Agence pour J’ai Lu

 

 

TARKETT LINOVILLE : DE LA MACROPHOTOGRAPHIE CREATIVE POUR PROMOUVOIR LA MODERNITE DU LINOLEUM

TARKETT LINOVILLE : DE LA MACROPHOTOGRAPHIE CREATIVE POUR PROMOUVOIR LA MODERNITE DU LINOLEUM

On croyait le Linoleum aux oubliettes, voué aux souvenirs des revêtements des sols des années 60. Il n’en est rien et les agences PUCK et AKOA le prouvent avec une idée originale pour la marque TARKETT, leader mondial des revêtements de sol. L’objectif est de remettre ce revêtement dans la lumière, d’autant qu’il est particulièrement en phase avec les besoins de l’habitat d’aujourd’hui grâce à ses composants naturels et un large nuancier de couleurs tendances. Les 2 agences ont fait appel à Vincent Bousserez pour créer des scènes en macrophotographie permettant ainsi de faire un focus sur le produit et de mettre  en valeur toutes ses qualités. Toutes ces images ont aussi été utilisées en édition, en communication commerciale et digitale mais ont aussi servi à réaliser une exposition événementielle dans la plus ancienne usine de production de Linoleum à Narni en Italie.

Une initiative que l’on peut retrouver sur FUBIZ cette semaine

TARKETT LINOVILLE MAINTENANCE

MONEO RESTO BOUSCULE LES ACTEURS DU TITRE-RESTAURANT

Tout le monde ou presque a entendu parler de Moneo. Décrié à son lancement par le petit commerce qui y voyait un moyen de contrôler les flux d’argent liquide, l’entreprise a cherché pendant des années à faire évoluer son modèle jusqu’à son rachat récemment par un fond d’investissement privé.
Mais ce qui est fondamentalement intéressant c’est ce qui se passe derrière. C’est-à-dire qu’au delà des apparences, l’entreprise possède un formidable savoir-faire. Reste à lui trouver des débouchés dans un monde où la majorité des nouvelles technologies finissent au panier, même quand elles ont été promues avec beaucoup de moyens.
La difficulté dans le domaine particulier de la carte à puce, c’est que la technologie tend à vouloir s’affranchir du support physique, mais qu’en même temps des infrastructures pour les développer ont du mal à s’en émanciper.

L’entreprise a donc choisi d’explorer toutes les possibilités du système carte à puce omniprésent dans le monde et loin d’être à son apogée.

Un secteur a résisté à cette simplification de la carte à puce : le titre-restaurant. Certainement que le manque de concurrence sur ce domaine règlementé n’a pas favorisé son émergence. L’entreprise a donc pris le parti de se lancer et de prendre de court ses concurrents pour s’y faire un place au soleil. Une stratégie gagnante, car elle a permis à Moneo resto de gagner immédiatement en notoriété et en prise de conscience.

Un positionnement basé sur la simplicité, des messages, tant sur le fond que la forme, soutenant cette promesse, il n’en faut pas moins pour développer l’appétit pour cette nouvelle forme de titre-restaurant dans les entreprises. Certes, l’avenir sera encore semé d’embuches, mais le produit a du sens. Nul doute qu’il saura séduire.
Moneo resto pub

NE TUONS PAS LE CONTENU DE MARQUE !

C’est quoi le contenu de marque ?

On pourrait légitimement se demander ce qu’est vraiment  le « contenu de marque », tant les multiples officines digitales ont tendance à s’approprier cette notion.

Mais l’avènement d’Internet n’a rien changé et déjà bien avant sa création, les marques tentaient des happenings, des événements, des affichages géants,… tout ce qui pouvait se partager ou créer des conversations autour de l’émetteur. En revanche, il est certain que la notion de contenu de marque s’est considérablement amplifiée grâce à la facilité de partage par les canaux digitaux, mais aussi à l’immense capacité de création et de production que représentent les outils digitaux.

En fait, le focus mis sur le contenu de marque en tant que technique de communication nous éloigne des sujets fondamentaux comme le fait très justement remarquer Philippe Simonet (VP chez TBWA), à propos des techniques digitales dans son « opinion » dans Stratégies du 23/02/2012.

A vouloir se concentrer sur la tactique on en oublie la réflexion stratégique sur la communication d’un produit ou d’un service. Le contenu est justement un élément constructeur du positionnement, facteur de développement du goodwill qu’est la marque, bref un outil de communication stratégique. Il aura donc tendance à être désormais moins publicitaire, plus connecté avec la vie des gens pour être partagé ou repris, il pourra aussi  parfois se faire service, vidéo, appli, art, éditorial… on ou offline.

Ce qui est sûr c’est que la communication a changé et les marques sont passées de la production de message à la production de contenus. Certaines ont été précurseurs en la matière. Rappelons-nous du film publicitaire pour Apple en 1984 par Ridley Scott. Vous pouvez me dire qu’avec les montants investis pour payer un réalisateur comme  Ridley Scott, ce film est juste une performance cinématographique. C’est vrai, à cela près qu’il n’est passé qu’une  seul fois et pourtant tout le monde semble l’avoir vu sur terre depuis.

Donnons de la force au contenu !

Devant le caractère essentiel et fondamental du contenu de marque, ma conclusion veut être un plaidoyer pour un re-équilibrage entre moyens de diffusion et contenu.

Nous avons vécus ces dernières années une croissance démesurée des moyens de diffusion et des sommes nécessaires pour toucher un nombre d’individus donnés, ceci a été largement dû à la dispersion croissante des audiences. De ce fait les marques ont réduit leurs moyens de productions jusqu’à générer un rejet des ces messages et contenus appauvris. Le public devient publiphobes et toutes les études le montrent.

La forte tendance de communication en faveur du contenu doit inciter désormais à ré-équilibrer les moyens alloués aux moyens de développement de ces contenus stratégiques qu’ils soient publicitaires, artistiques, commerciaux, online, offline… et ceux nécessaires à leur diffusion, parce que tout bon contenu est plus forts, plus viral, plus convaincant.

6 BONNES RAISONS DE COMMUNIQUER EN TEMPS DE CRISE

6 bonnes raisons de communiquer en temps de crise

En cette période de ralentissement économique, les entreprises cherchent à préserver leurs profits en réduisant leurs coûts. Bien évidemment les budgets de communication sont souvent les premiers coupés dans une telle situation.

Voici donc quelques très bonnes raisons de ne pas céder à la morosité ambiante, car on ne le répète jamais assez les crises sont des opportunités à saisir.

1 – Bonne nouvelle, la part de voix est moins chère !

En période de ralentissement de la croissance, vos concurrents communiquent moins, le coût de la part de voix est donc moins cher à deux titres : d’une part les espaces publicitaires se négocient mieux et d’autre part l’impact de vos messages est démultiplié par l’absence de concurrence.

2 – Le consommateur est encore plus en attente d’info.

Les périodes de crises sont des moments propices à la redéfinition des choix, aux changements d’habitudes et aux nouveaux arbitrages. Il est donc très important de satisfaire le besoin d’information accru des consommateurs et de les guider dans ces choix.

3 – Donner un cap à l’interne.

Les salariés de l’entreprise sont un moteur pour l’externe, il est donc plus que jamais important de les mettre être au cœur de la communication de l’entreprise, de les tenir informer. Une façon de donner le cap, et d’inciter l’entreprise à se dépasser.

4 – Les investisseurs aussi vous écoutent. 

Les investisseurs sont très sensibles aux paroles des entreprises, elles témoignent en quelque sorte de leur compétitivité, de leur santé et surtout de leur motivation. L’absence de prise de parole, quant à elle, est souvent interprétée comme le signe d’une activité en berne

5 –  C’est le moment de cultiver sa marque.

Donner du sens à sa marque et à son activité en affirmant ses valeurs, voilà un discours qui a plus de chance de faire mouche en temps de crise, car il se différencie de la majorité des messages mercantiles axés sur le prix. C’est un bon moyen d’affirmer son positionnement.

6 –  Vous allez rebondir plus vite au sortir de la crise

A long terme, le maintien d’une communication régulière favorise une reprise des ventes bien plus rapide et facile au sortir de la crise, après il sera déjà trop tard, les lignes auront bougé.

QUELS SONT LES VRAIS ENJEUX DES ESPACES COMMERCIAUX ?

Les espaces commerciaux sont des zones d’attraction majeures dans notre pays. A ce titre, ils dépassent les espaces classiques du commerce puisque le lieu lui-même peut devenir une marque. Mais s’ils sont des outils d’attraction de masse pour les enseignes ils doivent aussi savoir mettre dans leur panier une combinaison de marques qui sauront donner au lieu son attractivité au-delà de la simple présence d’un hyper.

Si chaque centre est unique, ils font face globalement à un certain nombre de grands défis à relever au risque d’être dépassés par d’autres voire par certaines évolutions de la grande distribution.

Fidélisation : les consommateurs ont des habitudes. Leurs habitudes de consommation sont guidées par des facilités d’accès ou une relation privilégiée à des enseignes. Les outils de fidélisations actuels prennent alors tous leur sens à condition d’être transverses aux enseignes et de générer du pouvoir d’attraction en dehors du centre. Cela peut prendre la forme d’une carte, le support n’a pas d’importance, n’est il pas déjà dépassé par les prémices d’une véritable CRM digital ?

Internet / les médias sociaux : C’est presque un lieu commun de dire aujourd’hui qu’un centre commercial est un lieu de socialisation pour de nombreux consommateurs. Malheureusement, les médias sociaux en sont souvent totalement absents. Pourtant leur clientèle est certainement une agrégation de communautés, certes diverses, mais qu’y retrouvent, échangent, s’influencent,… Les réseaux sociaux ont donc très certainement un rôle à jouer à condition de laisser les consommateurs maîtres de leur utilisation comme échanger des conseils, des notations ou des bons plans.

Humanisation
: à la différence des centres villes où l’on connaît son commerçant, le centre commercial subit une rotation élevée des équipes ventes notamment dans les enseignes nationales. C’est certainement une des grandes faiblesses de ce type de lieu. D’autre part le budget humain est souvent porté sur le personnel de sécurité plutôt que sur le personnel d’accueil ou de service. Il est certainement nécessaire d’avoir une réflexion poussée sur cet aspect afin de rendre les centres commerciaux plus humains.

Innovation commerciale : les nouvelles enseignes peinent à s‘implanter dans les nouveaux centres, bien que le Millénaire ouvert récemment prouve un peu le contraire. Néanmoins, on peut se poser la question de savoir s’il ne faut pas développer des moments « ventes privées » ou « ventes spéciales ». Cette forme de vente multi-marques a été annexée par quelques enseignes sur le web. Pourquoi pas demain se réapproprier ce savoir-faire ? De même, pourquoi pas non plus, offrir la possibilité de réserver un achat sur une borne sans avoir à faire une queue de 10 personnes à la façon des Fast Food ?

Les services : dernier enjeu et non des moindres, les services. Résolument, notre pays n’est pas naturellement enclin à offrir des services réducteurs de marge pour ces espaces commerciaux. Il suffit pour cela de comparer un espace toilette chez Ikea et dans un centre commercial classique. Pourtant, ils participent à la perception du lieu. Alors, pourquoi pas les faire payer comme au Louvre mais avec un service ++ ?

Le champ des innovations qu’elles soient relationnelles, commerciales, humaines est infini et participeront à l’évolution d’espaces dans lesquels on aime flâner. Alors quand commencent t-on ?