Comment PUCK communique par le data design pour le Groupe LEGRAND ?

Eh oui, toutes les entreprises et leurs marques ont à faire passer des informations parfois complexes. Rapports d’activités, RSE, normes, chiffres clés…. Depuis quelques années l’infographie, on devrait dire la data-graphie ou le data design, est un mode de communication de l’information en vogue.

Sur un sujet particulièrement complexe, PUCK a réalisé cet exercice à la demande du groupe LEGRAND pour permettre de s’y retrouver dans l’évolution de la norme NFC 15 100, qui même si cela ne dit pas grand-chose au commun des mortels, impacte nos vies et surtout nos habitats.

L’infographie est un contenu. Libre à chacun de l’animer, de la découper, de l’envoyer ou de l’imprimer. Imaginez, une plv de 40cm par 2mêtres ça impressionne et surtout cela ne laisse personne indifférent.

L’infographie est un mode de communication pédagogique et vulgarisateur. Mais soyons clair, cela demande un sens graphique mais aussi la capacité à s’immerger dans des domaines parfois ardus.

Alors… à qui le tour ?

Puck est une agence conseil en stratégie de positionnement – branding – communication à 360°.

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Infographie ou data design pour le Groupe LEGRAND

Infographie ou data design pour le Groupe LEGRAND

TARKETT LINOVILLE : DE LA MACROPHOTOGRAPHIE CREATIVE POUR PROMOUVOIR LA MODERNITE DU LINOLEUM

TARKETT LINOVILLE : DE LA MACROPHOTOGRAPHIE CREATIVE POUR PROMOUVOIR LA MODERNITE DU LINOLEUM

On croyait le Linoleum aux oubliettes, voué aux souvenirs des revêtements des sols des années 60. Il n’en est rien et les agences PUCK et AKOA le prouvent avec une idée originale pour la marque TARKETT, leader mondial des revêtements de sol. L’objectif est de remettre ce revêtement dans la lumière, d’autant qu’il est particulièrement en phase avec les besoins de l’habitat d’aujourd’hui grâce à ses composants naturels et un large nuancier de couleurs tendances. Les 2 agences ont fait appel à Vincent Bousserez pour créer des scènes en macrophotographie permettant ainsi de faire un focus sur le produit et de mettre  en valeur toutes ses qualités. Toutes ces images ont aussi été utilisées en édition, en communication commerciale et digitale mais ont aussi servi à réaliser une exposition événementielle dans la plus ancienne usine de production de Linoleum à Narni en Italie.

Une initiative que l’on peut retrouver sur FUBIZ cette semaine

TARKETT LINOVILLE MAINTENANCE

COMMENT ECRIRE UN BON BRIEF A SON AGENCE ?

« L’art du brief » comme l’aime à le définir Philippe Villemus qui a été longtemps annonceur (Colgate, Mars ou l’Oréal, entre autres), est une discipline qui peut s’appliquer à bien des domaines d’activité. Certes, la communication a forgé ce modèle jusqu’à le décortiquer et le transformer en tremplin créatif pour leurs équipes, mais il faut parfois revenir aux basiques de façon à se remémorer les points clés d’un bon brief.

A ce propos je vous recommande vivement la lecture de son livre qui reste une valeur sûre en matière de briefing.

En effet, aujourd’hui peu de briefings remplissent les contraintes les plus basiques de cet exercice. La faute souvent à la désertion du marketing dans les entreprises et au manque cruel de formation des équipes.

Toute d’abord il faut éviter de tracer la route. Le brief est une boussole qui donne le cap à atteindre, mais à vouloir déjà tracer le chemin, celui-ci ne pourra être que convenu.

Un petit rappel des règles.

Ce sont des règles qui permettent de gagner du temps mais aussi de l’efficacité et de la réussite.

Simplicité : pas de jargon le brief doit être compris par n’importe qui n’est pas de votre domaine. Il doit contenir le juste nécessaire à l’exercice proposé. Rien ne sert donc de faire un rappel de l’historique de l’entreprise sur 3 générations pour se rassurer du fait qu’il ne tienne qu’en une page.

Engagement : un brief n’est jamais neutre. Donner un cap nécessite de le choisir et de renoncer aux autres. Là encore, rien ne sert de tout délivrer à votre agence ou à votre interlocuteur de peur d’avoir à choisir ce qui était important.
Engagé veut aussi dire validé. La route à suivre doit être partagée par tous les décisionnaires du projet.

Spécificité : Le problème posé (car il y a toujours un problème à soulever) est le vôtre, pas celui du marché ou de la catégorie de produit à laquelle le vôtre appartient.

L’impact du digital sur la communication en général n’a pas changé les principes d’un bon brief et ses règles s’appliquent à bien d’autres domaines. En revanche, chaque domaine est particulier : publicité online ou offline, site marchand, point de vente, événement… donc ses parties ou sa forme peuvent varier en fonction des activités.

Un dernier principe : ne jamais oublier que l’on s’adresse à un humain, même en BtoB. Beaucoup trop de briefs sont centrés sur les valeurs ou les forces d’une entreprise en oubliant totalement la réalité du client.

La trame du brief

La problématique

Dans cette partie l’agence doit clairement pouvoir comprendre la problématique. Recherche de parts de marché, modification de positionnement, nécessité d’émergence,… elle doit être identifiée dès le début de l’exercice.

L’objectif marketing
Il traduit de façon mesurable, en général, la volonté de l’entreprise sur son marché.

  • Le contexte et le diagnostic marché
  • Une analyse objective du contexte de la catégorie ou de l’environnement de l’entreprise.

Le positionnement de la marque sur son marché
Cette partie pourrait faire l’objet d’un livre à elle toute seule, tant il est important de choisir un positionnement qui guidera les prises de parole de l’entreprise afin de se différencier sur son marché.

La cible
Il est intéressant de s’attarder ici. Trop souvent la cible englobe toute la population au cas où l’on oublierait un prospect ou deux. Un produit doit avoir sa cible. Un produit qui s’adresse à tous ne s’adresse à personne. Que ce soit une question de comportement, de moyens financiers ou d’attirance, il faut définir sa cible.

Il faut savoir renoncer sans avoir peur du phénomène d’attrition.
Pour cela, il faut constater que la cible peut-être l’acheteur. Mais elle peut être aussi différente, dans ce cas l’acheteur se définit par rapport à la cible du message à laquelle il souhaite, par exemple, s’identifier.

Un produit comme la GoPro cette mini caméra HD qui sert à filmer au plus près les exploits des skateurs, surfeurs et autres risque-tout, se vend sur la technique (HD 4K) et sur des démonstrations d’utilisation quasiment inaccessibles au commun des mortels. Cet hyper ciblage permet à chacun de s’identifier et de devenir lui-même le héros de ses réalisations. On peut dire que la cible du message est représentée par ces risque-tout ce qui donne des réalisations publicitaires audacieuses, mais qu’en réalité « monsieur tout le monde » est la cible commerciale au regard de la réussite de cette marque.

Le bénéfice ou la promesse au consommateur
Il doit être tangible, unique et spécifique à la marque. Il est important de rappeler la notion d’USP (unique selling proposition). En effet, un consommateur ne décode en général pas plus d’un argument. Les autres ne seraient être que de la réassurance. Là encore, il faut être capable de faire ce choix et c’est une question marketing très stratégique.

La ou les justifications
Une partie trop souvent chiche dans les briefs, la ou les justifications de la promesse doivent être crédibles. Qu’est qui fait, selon l’entreprise, que les consommateurs croiront au message ? Au-delà du marketing, ce choix dépend souvent de la nature même du produit, du service, ou de l’ambition de la marque.

Le ton
A ce stade le gros est fait. Il reste néanmoins à décrypter ce qui peut différencier le produit ou la marque de ses concurrents dans la communication par des traits de personnalité.

Le budget
Il est quasiment absent de la totalité des briefs. Mais comment pourrait-on refuser une création sous prétexte qu’elle parait trop chère à réaliser si aucun budget n’a été défini. En fait, c’est aussi une question d’engagement vis-à-vis des objectifs que l’entreprise souhaite atteindre.

Les autres contraintes
Parfois l’annonceur doit préciser des contraintes spécifiques, liées à des médias, des outils imposés ou à des particularités juridiques de son secteur.

Le « Pour action »
Il regroupe toutes les infos nécessaires au travail proposé : délais, rétro-planning de réalisation, décisionnaires, … et oui ne pas oublier les décisionnaires car ce sont eux qui ont, bien sûr, validé ce brief mais qui aussi jugeront au final même s’il ne sont pas toujours présents à la présentation du briefing.

Ce petit mémento du brief créatif permettra à chacun de s’exercer, car écrire un brief est un art, qu’il faut lrépéter de nombreuses fois, qu’il faut confronter à la contradiction pour gagner beaucoup de temps et d’efficacité dans l’entreprise.

Rappelez-vous que cela reste un guide et qu’il doit être adapté à chaque métier, mais que l’esprit compte, c’est-à-dire : simplicité, engagement, spécificité.

Et pour finir, votre brief est là pour motiver des créatifs bien sûr 😉

PJ: une trame de brief pour en user et abuser.BRIEFING

NE TUONS PAS LE CONTENU DE MARQUE !

C’est quoi le contenu de marque ?

On pourrait légitimement se demander ce qu’est vraiment  le « contenu de marque », tant les multiples officines digitales ont tendance à s’approprier cette notion.

Mais l’avènement d’Internet n’a rien changé et déjà bien avant sa création, les marques tentaient des happenings, des événements, des affichages géants,… tout ce qui pouvait se partager ou créer des conversations autour de l’émetteur. En revanche, il est certain que la notion de contenu de marque s’est considérablement amplifiée grâce à la facilité de partage par les canaux digitaux, mais aussi à l’immense capacité de création et de production que représentent les outils digitaux.

En fait, le focus mis sur le contenu de marque en tant que technique de communication nous éloigne des sujets fondamentaux comme le fait très justement remarquer Philippe Simonet (VP chez TBWA), à propos des techniques digitales dans son « opinion » dans Stratégies du 23/02/2012.

A vouloir se concentrer sur la tactique on en oublie la réflexion stratégique sur la communication d’un produit ou d’un service. Le contenu est justement un élément constructeur du positionnement, facteur de développement du goodwill qu’est la marque, bref un outil de communication stratégique. Il aura donc tendance à être désormais moins publicitaire, plus connecté avec la vie des gens pour être partagé ou repris, il pourra aussi  parfois se faire service, vidéo, appli, art, éditorial… on ou offline.

Ce qui est sûr c’est que la communication a changé et les marques sont passées de la production de message à la production de contenus. Certaines ont été précurseurs en la matière. Rappelons-nous du film publicitaire pour Apple en 1984 par Ridley Scott. Vous pouvez me dire qu’avec les montants investis pour payer un réalisateur comme  Ridley Scott, ce film est juste une performance cinématographique. C’est vrai, à cela près qu’il n’est passé qu’une  seul fois et pourtant tout le monde semble l’avoir vu sur terre depuis.

Donnons de la force au contenu !

Devant le caractère essentiel et fondamental du contenu de marque, ma conclusion veut être un plaidoyer pour un re-équilibrage entre moyens de diffusion et contenu.

Nous avons vécus ces dernières années une croissance démesurée des moyens de diffusion et des sommes nécessaires pour toucher un nombre d’individus donnés, ceci a été largement dû à la dispersion croissante des audiences. De ce fait les marques ont réduit leurs moyens de productions jusqu’à générer un rejet des ces messages et contenus appauvris. Le public devient publiphobes et toutes les études le montrent.

La forte tendance de communication en faveur du contenu doit inciter désormais à ré-équilibrer les moyens alloués aux moyens de développement de ces contenus stratégiques qu’ils soient publicitaires, artistiques, commerciaux, online, offline… et ceux nécessaires à leur diffusion, parce que tout bon contenu est plus forts, plus viral, plus convaincant.

L’utilité du Service Après Vente sur les réseaux sociaux

like

personne likant

La semaine dernière, un bus aux couleurs de Sosh, la nouvelle marque d’Orange, stationnait Place de la Bastille à Paris, pour faire la promotion du nouveau forfait low cost d’Orange. Entre expérience réelle et interactive, l’idée était de donner une image fraîche et positive de la marque sur les réseaux sociaux, grâce à la diffusion de contenus ludiques.

La tendance actuelle ne semble-t-elle pas favoriser au contraire une présence utile plutôt que divertissante des marques sur le web 2.0 ?

En effet, le web 2.0 étant un formidable canal de conversation entre les entreprises et les utilisateurs, ceux-ci  s’attendent à trouver du contenu véritablement utile. Il s’agit donc pour les entreprises de livrer un vrai service aux clients et parties prenantes par le biais du web 2.0 et non de leur faire «liker» leur logo.

N’est-ce pas là un formidable moyen de rendre légitime la présence d’une marque sur les réseaux sociaux ?
LE SAV SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX : UN CONTENU UTILE
Avez-vous remarqué depuis quelques semaines que les opérateurs mobiles utilisent de plus en plus une page Twitter ou autres micro blogs pour mettre en place un SAV rapide et satisfaisant ?

Free Mobile n’a pas de boutiques et son service client téléphonique est constamment occupé ces jours-ci. Mais sur Twitter un employé répond à toutes les questions des clients. On assiste aussi à une autonomisation croissante des consommateurs face aux services de téléphonie grâce aux très nombreux blogs communautaires. L’échange de conseil entre internautes/utilisateurs fonctionne très bien.

Les sites de micro blogging, tels que Twitter, sont devenus pour certaines entreprises une boutique virtuelle capable de canaliser les plaintes et demandes. Au lieu de faire patienter les clients insatisfaits des dizaines de minutes au téléphone, Twitter permet une réponse immédiate aux questions. A terme ce sera un SAV complet !

Même une petite entreprise, peut facilement répondre aux demandes d’assistance par ce biais. Afin d’éviter de répondre constamment aux mêmes questions, il est même très aisé de compiler les questions récurrentes du Twitter, dans un FAQ (frequently asked questions) sur le site de l’entreprise et de renvoyer les internautes à ce FAQ.

De quoi faire baisser les coûts, être utile aux entreprises et faire du bien aux clients.

SINGULIER ET ASSOCIES DEVIENT PUCK

L’équipe de Singulier et Associés est heureuse de vous faire part de la naissance de Puck… l’Agence.

Pourquoi Puck ?
Puck est le petit serviteur d’Obéron, ingénieux et plein d’idées,  dans « Le Songe d’une nuit d’été », de William Shakespeare. Avec le  génie de la Bastille à nos fenêtres, nous avions de bonnes raisons d’adopter ce nom court et surprenant.

Autres très bonnes raisons, un renouvellement d’équipe créative et le rapprochement avec AKOA, l’agence de la relation digitale. Tout ceci nous a poussé à symboliser cette évolution par un nouveau nom.

Mais que fait Puck ?
Dans un contexte où les entreprises ont besoin de retrouver un peu de certitude et d’intangible, un positionnement simple et crédible est le meilleur moyen pour émerger auprès de cibles sur-sollicités. Puck s’est fixé comme mission d’affirmer, d’ajuster et de défendre le positionnement des marques. Toute la créativité de l’Agence est donc dédiée à créer et déployer les contenus qui construisent ces positionnements.

Pourquoi choisir Puck pour 2012 ?
Certes nous ne pouvons rien faire pour les JO de 2012, mais nos expériences auprès de grandes marques et notre développement actuel nous donnent une légitimité toute particulière dans ce domaine pour aider les annonceurs. Le début d’année a déjà été riche en succès : la campagne Corporate de Dassault Aviation, des projets novateurs et digitaux avec Legrand et Arnould ainsi que le renouvellement de la collaboration avec nos principaux clients sont de bon augure.

That’s why long live the Puck !

http://www.agence-puck.fr

NE LAISSEZ PLUS VOTRE IDENTITE NUMERIQUE A LA MERCI DES AUTRES

Trop peu d’entreprises se préoccupent de leur « image » sur le web. Pourtant il existe de nombreux espaces qui leur reviennent de droit à condition de s’en occuper. Et c’est bien là le problème. Elle n’imaginent pas combien d’autres qu’elles ont intérêt à occuper leurs places : concurrents, homonymes, activistes, voire acteurs peu scrupuleux du net.

Alors que se passe-t-il lorsque l’on tape le nom de votre entreprise dans Google, Bing ou Yahoo ? Quelles images apparaissent dans l’onglet images? Que dit Wikipedia ? Quelles sont les infos la concernant dans Google News ?

Il existe quelques principes simples. Au-delà du référencement du site du l’entreprise en elle-même, ou sa présence sur les réseaux sociaux, des outils comme Flikr, Twitter, Youtube, Slideshare ou même Wikipédia (si l’entreprise y est accessible), sont particulièrement utiles pour faire le lit d’une identité numérique.

Alors, investissez ces champs avec des contenus à jour et actualisés et vous aurez posé la première pierre de votre identité numérique avant que d’autres s’en chargent.

QUEL EST LE LIEN ENTRE EPIDEMIES, REVOLUTIONS ET MARQUES ?

Il faudrait relire Gladwell (the Tipping Point autrement dit le Point de Bascule) avec attention à la lumière des événements actuels dans le monde Arabe. Comme il le décrivait très justement, il y a une similitude, voire plus, dans les phénomènes d’extension d’un événement qui a changé l’histoire. Son idée : des changements mineurs peuvent faire basculer une situation radicalement.

Par exemple, pourquoi Ebola est resté enfoui pendant des années pour ressurgir de façon aussi catastrophique ces dernières décennies ? Pourquoi un suicide d’adolescent à provoqué une vague sans précédent de suicides dans des iles du pacifique… ?
Gladwell a su faire un rapprochement avec les marques et la réussite indécente de certaines sur le modèle des contagions.
Mais voilà aujourd’hui, c’est de révolution dont on parle et c’est comme si tout le monde Arabe s’enflammait. Ce genre d’événement n’arrivait pas à prendre au sein de toutes les dictatures des pays émergents du nord de l’Afrique malgré une chape de plomb posée sur les pauvres populations de ces pays.

Mais d’un seul coup, c’est l’embrasement. Il est certain que quelques changements infimes comme le retournement de certains policiers ou la capacité de certains blogueurs à faire passer l’information rapidement avait été l’événement déclenchant.

Bref cette situation doit s’analyser avec précision et je suis sûr que nous découvrirons que Gladwell a vu juste et que parfois de petites choses peuvent changer la façon dont les marques deviennent des phénomènes.

PEUT-ON AUGMENTER SES PRIX EN TEMPS DE CRISE ?

N’oublions pas que les périodes de crises sont aussi là pour faire bouger les lignes. Certaines enseignes n’hésitent pas à développer des versions à bas prix. Par exemple, Harley Davidson lance pour 2011 sa ligne Superlow, permettant aux budgets serrés d’accéder au rêve Harley. Dans le même temps, Harley ou d’autres marques profitent de ce développement de gammes à bas prix pour créer des versions « premium » comme la Fat Boy Spécial en 2010. Sans grande nouveauté, si ce n’est le look, le tarif est un vrai tarif Harley, c’est à dire musclé.
Le prix moyen de la gamme peut alors s’ajuster doucement à la hausse, l’important étant d’être toujours incomparable…non ?

CADEAU MALIN !

Allez pour Noël un petit cadeau pour tous ceux qui rêvent d’avoir un nouvel appareil photo ou qui se jurent qu’en 2011 ils s’y remettront, voici un petite I-appli de Vincent LaForet, prix Pulitzer en photographie, dans laquelle il présente ses meilleures images, mais lève aussi le voile sur son process créatif. Bien sûr l’accès à la première collection est gratuite et les suivantes sont payantes. Tout ceci est agrémenté d’interviews retraçant les conditions de prises de vue. Bref, il est rare de pouvoir accéder à l’envers du décor des grands photographes. Par cet aspect c’est intéressant, car c’est utile pour les passionnés de photo. Mais ce qu’il l’est encore plus, c’est que Vincent LaForet fait sans le vouloir de la brand utility pour Canon ou le New York Times. Et quand les marques manquent de contenu, ce cas est un bel exemple, d’une idée maline qui cible précisément une catégorie de population qui pourrait parfaitement être un moyen, pour ces marques, d’être relation avec leurs publics.
Allez bon Noël !